Nous avons ici affaire au côté le moins intéressant du remarquable Nicolas.
Il faut bien borner les citations, surtout quand on part en vacances. Rien ne m'ayant mis en difficulté dans ce que je n'ai pas transféré sur mon site ou pas encore, je considère avoir tout mon temps, et je le prendrai.
Quand on maltraite, dans un débat, ceux qui ne sont pas d'accord, au point de tutoyer (à défaut de l'interlocuteur !) le hors-charte, et qu'on provoque de la part des modérateurs des verrouillages ou de sérieuses menaces d'iceux, on est d'autant plus mal placé pour dénoncer des absences de réponse.
Mais trêve de considérations sur d'imaginaires censures, et un mot sur le fond : je maintiens tout ce que j'ai écrit sur un virage hitlérien après Mers el-Kébir et m'inscris évidemment en faux contre l'idée qu'un passage du journal de Halder, un mois plus tôt, pourrait le démentir. Il est à replacer dans ce contexte du début juin où Hitler acclimate doucement ses officiers à l'idée que l'Angleterre n'est pas l'ennemi principal. Il s'agit bien plutôt de les préparer à la paix avec elle qu'à un choc immédiat, ou prochain, contre l'URSS.
Pour moi au demeurant ce débat est utile et, tout en déplorant ses excès, je sais gré à Nicolas de m'ancrer dans ma vision en déployant une contestation exigeante.
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