A l'énumération, par moi ce matin faite, des idées et propos qu'il me prête à tort,
- "faire du national-socialisme une alternative politique acceptable"
- "Hitler n'aurait jamais envahi l'U.R.S.S. et n'aurait pas exterminé les Juifs d'Europe si Churchill... "
- "le régime nazi est devenu sanguinaire à cause de l'adversaire" (je nierais les atrocités en Pologne ??!!)
- "Staline cèdera l'Ukraine sans se battre"
- "Hitler se retire de lui-même du pouvoir" ,
Nicolas ne trouve rien à redire, sinon une citation de forum , que voici : "alors certes il démissionne au profit de Göring pour aller se consacrer avec Speer aux monuments du Grand Reich mais il garde pendant des décennies la haute main sur son oeuvre. " Je n'insiste pas, chacun aura compris la nuance qu'apporte la seconde partie de la phrase. Au demeurant, il s'agit d'une supputation présentée comme vraisemblable, et non bien sûr d'un scénario asséné comme unique et invariable.
Non loin de cette citation, on trouve hélas aussi l'expression juste de ma pensée sur ce qui pourrait vraisemblablement se passer en Ukraine :
"Mais quid de l'URSS ? Est-il possible de déchirer le pacte immédiatement ? Cela ne ferait-il pas trop mauvais effet, par rapport au texte qu'on vient de signer à l'ouest ? En revanche, une large carrière est ouverte à une négociation avec l'ami Staline : je ne vous en veux pas mon cher mais comprenez-moi, votre Ukraine m'intéresse ! Car je m'en suis tiré cette fois mais j'ai tout de même été sournoisement agressé par une conspiration juive anglo-française, je dois à ma race supérieure de prévoir l'avenir et d'éviter tout risque de blocus, et il faut que je puisse diposer du charbon, du fer et du blé ukrainiens. Que diriez-vous d'une petite coopération pour booster la production ? Allez, juste quelques milliers d'ingénieurs, quelques dizaines de milliers d'exploitants agricoles, bref une petite colonisation allemande dans des endroits vaguement stratégiques ?A part ces détails, vous garderez tous les kolkhozes que vous voudrez ! Comment, vous hésitez ? "
Mais trêve d'accessoires mises au point. Le débat engagé est, contrairement peut-être à l'impression de quelques lecteurs, essentiel. Alors, quand donc disparaîtront les considérations parasites, qui prétendent démontrer la situation de 1940 par les prétendues non réponses, censures ou malhonnêtetés des discuteurs des années 2000 ?
Personnellement, je ne m'intéresse pas du tout comme objet historique.
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