Pour accréditer l'idée fausse que je ne reconnaitrais jamais une erreur, tu as récemment rappelé une tentative de Jacques Baynac de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Il faisait dire à Lucie Aubrac le contraire de ce qu'elle avait affirmé toute sa vie au moyen d'une "déclaration" qu'elle aurait faite au Dauphiné Libéré en 1998. Nous avions toi et moi demandé des précisions sans les obtenir. C'était à nous d'interroger le journal ! Au fait ça me rappelle quelque chose. Bref, j'ai fini dans ma grande abnégation par le faire, on m'a répondu que la citation n'existait pas, j'en ai fait part, alors seulement Baynac, triomphant, a publié le fac-simile, et le journal, réinterrogé, toujours par moi seul, a reconnu que sa réponse précédente était incomplète.
L'essentiel, à savoir ce que Baynac entendait démontrer, avait été au passage entièrement démoli : il avait sollicité avec un rare aplomb ce minable entrefilet, démenti par l'article même qu'il était censé résumer...
... et toi, qui par ailleurs traites couramment Baynac d'escroc, tu as cru devoir lui présenter des excuses.
C'est ton problème ! |