Il me semblait qu'on avait déjà répondu à tout ça.
Quand un gouvernement est aussi contraint que le fut Vichy et par une puissance aussi diabolique que celle de Hitler,et de ses sbires (Himmler, Heydrich, Dannecker et de leurs SS, toujours prêts à tuer, torturer, massacrer), la seule alternative fut la pratique de l'esquive et de l'attentisme, non celle de l'affrontement.
Relativement facile à mener au début de l'occupation, cette politique devint rapidement de plus en plus aléatoire, obligeant le rusé Laval à des compromissions verbales comme le fameux "Je souhaite la victoire de l'Allemagne .." qui le fit tant haïr.
Or, cette politique apporta de grands soulagements à notre population dans son ensemble même s'il est facile de mettre en avant tel ou tel fait ou tel ou tel propos regrettables comme ceux que vient de nommer Lebel. Ils furent "des mals pour des bien", notion quelque peu "aporique" dans sa nature même mais qu'une intelligence moyenne doit pouvoir comprendre.
D'ailleurs les chiffres sont là pour étayer cette approche.
"De toutes les grandes communautés juives de l'Europe occupée la française fut la plus épargnée" a dit ...Klarsfeld. |