Nicolas qui joue sous nos yeux, enfin, son va-tout à grands coups d'effets de manche de prétoire, va se faire un plaisir :

de nous indiquer pourquoi l'alchimiste Murphy éprouve le besoin de transmuer le verre en métal.

Quant à propre ma réponse à cette question, je ne ferai pas à quelqu'un qui me devine si bien l'injure de la mettre noir sur blanc !

(signé) un accoucheur inlassable de bourdes énormes, mauvais joueur, terreur des poissons, incapable de reconnaître que 1 = 9, infréquentable à force d'indocilité et de refus de se faire envoyer au coin, pour son bien, par le maître le plus indulgent, le plus patient, le plus dévoué pour répéter sans fin ses explications tout en réussissant à rester poli.

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Bon, maintenant, assez rigolé. Le meilleur ami de mon contradicteur (surtout si c'est un ami véritable) et mon pire ennemi (surtout si c'est un vrai ennemi, soucieux de ne pas m'offrir des billes) sont mêmement acculés à constater que l'acte d'accusation à mon encontre a été considérablement réduit par les échanges des (et surtout du) derniers jours. Je ne suis plus accusé que d'un délit : avoir lu, dans une documentation que je suis allé, tout seul, exhumer et vérifier à la source, le mot "verre" et en avoir déduit l'adjectif "fragile". Or le colonel Murphy, le "témoin-vedette" de Nicolas, a eu la même réaction, refusant de boire dans ce verre et le métallisant en toute hâte, tout en l'assouplissant.

J'ai confiance en la justice de ma planète internautique. Et surtout en sa soif de vérité historique, quoi qu'il en coûte aux pieuses légendes.