"Laurent Joly a présenté une thèse universitaire à une date où, après l'affaire Roques, il ne pouvait plus être question de traiter de tout ce qui concerne la Shoah autrement.
C'est sans valeur."
Ha nous y voilà.
Henri Roques (usant parfois du pseudonyme de Henri Jalin), né à Lyon le 10 novembre 1920, est un ingénieur agronome français retraité. Ancien secrétaire général du groupuscule néofasciste et raciste la Phalange française, et auteur négationniste, il soutient en 1985 une thèse (finalement annulée) en littérature comparée qui a donné lieu à un scandale au sein de l'Université française.
Donc maintenant, on ne pourrait plus dire la vérité sur la Shoah. Je vous ai compris. Tout ce qui est post Henri Roques et loi Gayssot, est bridé et donc sans valeur. On ne pourrait plus dire la vérité sur la Shoah en France.
La vérité serait donc dans la négation. Lumineux !
"D'ailleurs, curieusement, cet ouvrage fournit des éléments de décharge importants concernant Vichy? Il m'a beaucoup servi."
Oui, c'est curieux, hein.
Vous avez déjà fait le même coup hier concernant Serge Klarsfeld
On commence par nier l'objectivité d'un livre et ensuite on prétend que les éléments objectifs qu'on y trouve, y seraient par hasard, curieusement, par inattention de l'auteur, ...
N'importe quoi.
Aller, pour moi la messe est dite. Nous pensions peut être naïvement que votre défense de Vichy pouvait être sincère. J'ai la preuve maintenant, qu'elle n'est qu'une branche du négationnisme, que la partie de vous qui peut encore s'exprimer, et qu'elle est étanche à toute logique.