C'est pourtant simple de Jacques Ghémard le jeudi 20 mars 2008 à 15h45
René : "Je ne suis pas juriste, mais je ne vois pas comment l'Etat britannique aurait pu intervenir dans la marche de la justice française pour ça."
Laurent "l'éditeur (Her Majesty Stationery Office ?) qui est le détenteur des droits, est un organisme dépendant du gouvernement britannique. Ce dernier a donc toutes possibilités d'interdire une traduction"
Le détenteur des droits a évidemment son mot à dire pour une traduction et/ou publication d'un livre. Enfin, sauf en Chine probablement.
Mais la France n'est pas la Chine et les bouquins sont encore rarement disponible en p2p. Bref les éditeurs Français ont bien été obligé de respecter le droit d'auteur.