Merci, René, pour ce rappel, effectivement instructif :
Un homme pour qui tout est volonté, qui ne connaît pas le principe de réalité et qui trépigne, hurle et tue quand il est confronté au moindre retard, au moindre obstacle. Et aussi une sorte d'artiste délirant, qui voit l'humanité comme une oeuvre à refondre, et qui se venge sur ce matériau lorsqu'il se rend compte que celui-ci est indocile.
Ainsi Finkielkraut croque-t-il Hitler vu par Ganz-Hisrschgiebel, en prenant cette image au premier degré.
Alors je demande naïvement : comment donc un type pareil ne s'est-il pas cogné au réel beaucoup plus tôt ? |