Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

Pétain - Trahison ou sacrifice ? - Michel Boisbouvier
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Zone - Résistance (France)
-

En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.

En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")


RSHA - Reichssicherheitshauptamt - Allemagne nazie
-

Office Central de la Sécurité du Reich créé en 1939 avec à sa tête Reinhard Heydrich. Après l'assassinat de Heydrich par la Résistance tchèque à Prague, le 8 juin 1942, le poste est confié à Ernst Kaltenbrunner.
Le RSHA comprend 7 divisions (Amt - Ämter au pluriel):
- Amt I : Service du personnel pour l'ensemble du RSHA.
- Amt II : Questions administratives, économiques et droit.
- Amt III : Inland SD (Sicherheitsdienst) - Service de renseignement et de sécurité intérieure.
- Amt IV : Gestapo - Recherche des adversaires du régime et répression.
- Amt V : Kripo - Police criminelle
- Amt VI : Ausland SD (Sicherheitsdienst)- Service de renseignement et de sécurité à l'étranger.
- Amt VII : Documentation, études et recherches idéologiques.


SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie
-

"Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".

A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.

Dans ce texte :

Foutaises déjà réfutées - et une aporie de plus ! (dingue...) de Nicolas Bernard le samedi 20 février 2010 à 13h28

> Que la décision de Heydrich de donner à la police
> française de zone occupée une autonomie nouvelle par
> rapport à la situation antérieure ait été prise avant et
> non après la rencontre Bousquet-Heydrich du 6 mai, comme > le prétend Oberg à son procès en 46,

Il n'y a pas que le témoignage d'Oberg de 1946 qui l'atteste, mais également la déposition de son adjoint Knochen, et des documents contemporains - voir mon article - et les nombreuses contradictions de René Bousquet au fil de ses déclarations (voir René Froment, René Bousquet, Stock, 1994, p. 205-227)





> n'évacue pas le fait que c'est grâce à l'attitude de
> Bousquet, ce jour-là, que les divers refus opposés aux
> demandes allemandes de déportations et de
> dénaturalisations des Juifs ont pu exister.

Foutaises déjà réfutées.





> Quand Bousquet dit à Oberg et Knochen le 2 juillet 42
> que le Maréchal s'oppose aux déportations des Juifs de
> France, Knochen lui fait comprendre qu'il y a une limite
> à ne pas franchir car le Führer ne le tolérera pas.

Foutaises déjà réfutées : Pétain ne s'opposait alors pas à la déportation des Juifs de France, mais des Juifs français, ce au nom de considérations xénophobes et d'opinion publique - sachant que si les Juifs étrangers seraient livrés les premiers, enfants inclus, il était acquis que les Juifs français auraient ultérieurement droit à la déportation.





> D'ailleurs, à cette date, la police française n'a pas
> encore été rendue autonome par rapport à l'autorité
> d'occupation.

Foutaises déjà réfutées : la seule possibilité offerte aux Allemands de réquisitionner la police française intéressait exclusivement les mesures de sécurité de l'armée d'occupation.





> Elle ne le sera que le 8 août, par ce qu'on a appelé les
> accords Bousquet-Oberg.

Ces accords n'intéressaient que les tâches de sécurité (seul domaine où l'occupant pouvait réquisitionner directement la police française)... et seront immédiatement violés par les Allemands.





> Cette autonomie, octroyée par Heydrich et sa SS (Oberg,
> Knochen..) d'après vous,

Pas d'après moi, d'après les témoignages des protagonistes et la documentation.





> et non arrachée par Bousquet et Laval (comme je le
> crois)

Cette croyance n'est pas conforme à la réalité, mais l'ex-anonyme n'en tient nullement compte...




> apparait d'ailleurs comme une suite logique de la
> recommandation de Lischka de faire participer la police
> française aux arrestations pour qu'elle en assume le
> plus possible l'impopularité qui s'y rattache.

Ce n'est pas la seule considération qui entre en compte - voir mon article.




> Si cette police, au lieu d'être aux ordres de l'autorité
> d'occupation comme elle l'a été jusqu'ici (merci de le
> reconnaitre enfin)

Foutaises déjà réfutées.




> devient véritablement "la police de Vichy", c'est le
> gouvernement français lui-même qui sera mouillé dans les
> rafles projetées. (Force est de reconnaitre que Lischka
> et Heydrich ne se sont pas trompés !)

Bel éclair de lucidité de l'ex-anonyme...




> Dès lors tout s'explique. La relative modération de
> Himmler qui renonce à forcer la main de Vichy quand il
> est mis en présence des maigres résultats du travail
> d'Oberg et qu'il s'en contente néanmoins "pour le
> moment". Il est prisonnier des accords antérieurs et il
> ne désire pas les violer ouvertement à cette date.

Foutaises déjà réfutées, ce d'autant que l'ex-anonyme se contredit (comme d'habitude), puisqu'il écrivait que Himmler ne se sentait nullement lié par un quelconque accord, et que sa décision de ne pas forcer la main à Vichy résultait de considérations logistiques.





> C'est sans doute l'ensemble de ces faits diplomatiques
> assez complexes qui explique la parole de Poliakov : "Du
> sort relativement plus clément de la communauté juive de
> France, Vichy fut, en fait, le facteur prépondérant".

Foutaises déjà réfutées.




> Le RSHA a joué au plus fin avec Vichy et c'est ce
> dernier qui a gagné !

Foutaises déjà réfutées.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.07 s  3 requêtes