"Laurent Joly a présenté une thèse universitaire à une date où, après l'affaire Roques, il ne pouvait plus être question de traiter de tout ce qui concerne la Shoah autrement", écrit l'ex-anonyme pour prétendre que
"c'est sans valeur". Le rideau tombe,
comme l'a bien montré Jacques Ghémard, dès lors que l'ex-anonyme admet une telle complaisance - pour ne pas dire plus - envers les imbécillités négationnistes.
Mais après tout, quoi de surprenant de la part d'un
individu tel que l'ex-anonyme, dans la mesure où, notamment, il a
nié l'authenticité du Journal d'Anne Frank ?