Je voudrais savoir d'où vous pouvez dire que la scénographie mettant en cause la négociation du 2 juillet 42 entre Bousquet et la SS de Paris et reproduite par moi, ici, est fausse.
Quand cette négociation a eu lieu, le 2 juillet 42 donc, ni caméra, ni magnétophone, ni dactylo pour enregistrer les paroles.
Restent les témoignages des participants : Oberg, Knochen, Bousquet...d'autres aussi peut-être.
Tous sont passés en justice après la guerre. Bousquet a fini par être acquitté et, comme je le disais on lui a même rendu ses décorations.
Oberg et Knochen, d'abord condamnés à mort, furent graciés de cette peine par Auriol et élargis par de Gaulle en 62.
Si leurs récits concordent, pourquoi douter ? |