Bonjour,
Si je peux me permettre d'ajouter une petite remarque : la sonorité du pseudonyme retenu claque comme une affirmation (ou un coup de feu) : Leclerc, ça "sonne" bien comme on dit aujourd'hui. Alors que ce soit voulu ou plus inconscient chez l'officier dissident en 1940, au milieu de la confusion militaro-politique qui règne à l'été 40, Leclerc peut s'entendre aussi comme "Leclair", celui qui a fait un choix franc et direct, celui qui refuse les compromis qui conduiront à la politique de collaboration et aux miasmes vichystes.
Bien cordialement,
René Claude |