> Pour ce qui est de la métropole, j'en reviens à ce que
> j'appelle une politique d'esquive, qui a consisté à
> devancer les projets de l'ennemi pour "garder la main" et
> en atténuer la portée. Est-ce si difficile à comprendre ?
> C'est un fait que le statut des juifs du 4 octobre est
> postérieur à l'arrivée de Dannecker à Paris, fin août, et
> à l'avertissement du général de La Laurencie concernant
> les Lois de Nuremberg.
Ce faisant, vous renouvelez un
bobard déjà réfuté, mais il y a pire (voir plus bas).
> C'est bien pourquoi tous les détracteurs de Vichy comme
> Paxton, Bedarida et Azéma quand ils s'empressent de
> l'accuser d'avoir institué une législation antisémite
> sans que les Allemands l'aient demandé ajoutent
> parfois "hors de toute pression directe des Allemands",
> car la pression fut indirecte, mais elle eut lieu.
Vous avez pourtant démontré que Vichy a agi de sa propre initiative, par souci de souveraineté nationale,
comme je le montre ici !
Pouvez-vous expliquer cette nouvelle contradiction ?