Knochen a témoigné à Hubert de Beaufort en 2001 que Heydrich lui dit à l'occasion de son séjour à Paris, début mai 42, qu'il fallait penser à l'après-Hitler et, vers la même date, Heydrich dit à Schellenberg (ils chassaient ensemble) que tout cela allait mal finir et que c'était folie d'avoir lancé la destruction des juifs en plus de la guerre.
Par ailleurs, le largage des parachutés tchèques étaient à l'époque à la limite des possibilités de l'aviation anglaise et représentait une audace particulière.
Knochen ajoute, parlant de Heydrich : "Il semblait méditer quelque chose".
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