Cher Igor,
Vous répondez à un dixième de mon message, ce qui est votre droit démocratique, aussi absolu qu'est le mien de comparer qui je veux à qui je veux. J'en conclus provisoirement que vous êtes d'accord avec ce que vous ne critiquez pas... donc que vous comprenez en fait assez bien la pertinence de la comparaison Bush-Hitler, mais que vous avez du mal à l'admettre.
Je viens de trouver une formule qui résume bien l'essentiel de mon propos. La ressemblance principale, c'est que les deux hommes ont engagé leur pays dans une impasse sanglante, au nom de deux concepts d'une débilité voisine (lutte des races et choc des civilisations). La principale différence, c'est que Hitler pouvait gagner et a bien failli le faire (donc ce n'était pas tout à fait une impasse, du moins à l'échelle de sa propre vie). Bush, lui, ne peut pas gagner, d'aucune façon. Il ne peut que faire du mal aux siens et aux autres, et il en fait.
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Je n'ai toujours pas la certitude que vous lûtes de 
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