Cela pose tout de suite une question : pourquoi maintenant ?
Et une autre, dont la réponse se trouve peut-être dans les interventions qu'évidemment je n'ai fait que parcourir : tient-on bien compte, comme on l'annonce, des facteurs politiques autant que des autres ?
As far as I am concerned, c'est la survie même du nazisme, à commencer par celle de son chef si facilement suicidaire en cas d'échec, qui me paraît compromise bien avant la date de juillet 42 à laquelle est parvenue la discussion, si la France fait un autre choix en juin 40. Comment nos débatteurs résolvent-ils ce problème ?
|