"Zambon" et pas "zampon" s'il-vous-plaît, à moins que ce ne soit qu'une mauvaise farce. J'ai des orgines vénitiennes et comme nos amis d'outre Méditerranée le clament pour leur compte, je crois avoir moi aussi le droit d'être fier de ce sang (même si ça ne vous met pas la larme à l'oeil, style Yannick Noah, qui lui se sent Africain... Alleluya!). Je ne vous reconnais pas le droit de faire une sorte de "darwinisme militaire" qui, comme le feraient des nazis, classe les nations selon leurs vertus militaires, sur des paramètres (ethniques?) dont nous ignorons tout (doit-on remonter à l'époque romaine?). Vous ne connaissez strictement rien, au niveau universitaire et non pas au niveau d'une mauvaise littérature de gare, aux opérations italiennes sur tous les fronts, à leurs tenants,leurs aboutissants et leur déroulement. Je parie trois mois de salaire que vous auriez teinté votre fond de culotte avec un Carcano 98 dans les bras face à une horde de Russkoffs armés de PPSSH 41. Votre seule marotte est de comparer avec les Français, qui, selon vous, sont les seuls à avoir eu la défaite glorieuse: ils se sont tous rendus (1,5 millions non?) glorieusement, sont restés glorieusement dans les stalags, etc etc. Vous parlez des Polonais, des Grecs, de tout un tas de gens qui "savent mourir", pas comme ces bouseux du Piémont ou de Calabre, qui tiennent leur fusil à l'envers. Vos allégations sont grotesques et infondées. Vous êtes du sud? moi aussi! alors parlons de tout ça de vive voix! Vous m'avez quasiment reproché un jour de ne pas avoir connu le combat. J'ai fait les paras, j'ai rien à prouver. Je serais curieux de savoir quelle guerre vous avez faite... la guerre "glorieuse" d'Algérie? Ma foi, ne pas être capable de mettre à genoux une armée qui n'en était pas une... moi aussi je peux me complaire dans les remarques d'une niaiserie sans fond, ne croyez-vous pas? Cessez vos comparaisons de surface et laissez Liddel Hart de côté. Vous êtes à la retraite? alors parcourez les archives et faites des recoupements avant de balancer n'importe quoi, pour satisfaire votre rancune du "coup de canif en fer blanc dans le dos".