Pour l'affaire Goebbels Eva Braun, il semble que vous ayez mal lu le texte de Mézerette. Il n'a jamais été question d'une "campagne de presse contre", mais bien au contraire d'articles élogieux sur le talent de photographe de cette personne, sans nulle mention, bien évidemment, de sa relation privilégiée avec le Führer.
Je retrouve bien là votre tendance trés personnelle à l'interprétation et l'extrapolation.
Je n'ai jamais dit que c'est toute la Bretagne qui avait festoyé avec la Kriegsmarine, lors de la destruction du Hood.
Mais il y eut une fraternisation à cette occasion. Parce que le navire coulé par le Hood portait le nom de "Bretagne"? Ou par pure anglophobie? N'ayant pas votre talent pour l'extrapolation, je me garderai de trancher. La source? Ecoutez, prenez le seau et allez puiser vous même, c'est dans les "témoignages des lecteurs" de l'encyclopédie "LE JOURNAL DE LA FRANCE, LES ANNEES QUARANTE, Tallandier 1971.(1) Nous avons déjà un Webslave, ne faites pas de moi une Cosette portant un lourd seau d'eau!
Tendance à l'extrapolation, donc...
On la retrouve également dans votre décodage de la pensée intime de Hitler à propos de la flotte française en 1940...
Et dans un sens qui méconnait totalement les avances pressantes de Vichy, démontrées par Robert E. Paxton.
Vous ne pouvez pas traiter un sujet historique sans prendre en compte tous les éléments connus. Ou alors, vous faites oeuvre de romancier, non d'historien.
Ce qui ne va pas avec vous, cher François, c'est le planté du bâton. Vous dérapez trop pour être crédible, et c'est dommage, parce que, et vous le soulignez mélancoliquement par ailleurs, ça rend contestable une bonne partie de vos écrits.



(1) à noter dans la même encyclopédie, même rubrique, une bonne vingtaine de témoignages concernant les bombardiers italiens de juin 40. Ces gens sont nombreux, ne se connaissent pas, et ont vu des bombardiers TRIMOTEURS à cocardes vert blanc rouge. Oui, je sais l'aviation du Duce n'arborait pas de cocardes. Alors? Des OVNI?
Mais bon, là on dérape dans le hors sujet. Je replante le bâton. Et on ira boire un bon vin chaud, Monsieur Dusse!