"Le soldat oublié" n'est même pas un pro domo de Auteur anonymé le mercredi 15 septembre 2004 à 23h05
Quand Sajer/Dimitri dit "qu'il ne combat plus pour une idéologie", c'est ce qu'il dit sur le moment mais ce n'est pas parce-qu'il le dit que c'est vrai.
Ce n'est pas ce qu'il dit sur le moment, c'est qu'il dit après guerre. Ce livre date de l'après guerre.
Son non regret au sujet d'Hitler date aussi de l'après guerre.
Effectivement Sajer fut peut-être plus fasciné par les Jeunesses hitlériennes qu'il n'était nationaliste, c'est bien ce qu'on lui reproche.
Alors "Malgré nous" ou "Bien heureux que" ?