flagrant délit ! - Pétain - Trahison ou sacrifice ? - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Pétain - Trahison ou sacrifice ? / Michel Boisbouvier

En réponse à -16 -15 -14 -13 -12 -11 -10 -9 -8 -7 -6 -5 -4 -3 -2
-1Refileur d'ardoise de Boisbouvier

flagrant délit ! de françois delpla le vendredi 29 janvier 2010 à 11h12

Ceci s'applique aussi et jusque dans les détails à Loustaunau-Lacau : Résistance, réseau Alliance, Buchenwald, trente kilos en moins, affection pulmonaire, représentant national après la guerre, mort prématurée des suites la déportation...
Or, lisez donc sa déposition comme témoin au procès Pétain.

"Je ne dois rien au Maréchal Pétain, mais cela ne m'empêche pas d'être écoeuré par le spectacle de ceux qui, dans cette salle, essaient de refiler à un vieillard presque centenaire l'ardoise de toutes leurs erreur".

Apparemment, vous faites partie de ces derniers.


L'auteur de cette tirade s'ingénie à n'analyser les événements de l'Occupation qu'à travers le comportement et les propos de ceux qui en causent après coup, des procès 1945 jusqu'au présent débat.

Mais dans le fond, à part la ridicule conclusion hagiographique, un assez grand accord règne sur le peu qui est dit de Vichy. Un régime fantoche, sacrifiant délibérément les Juifs étrangers, s'efforçant de maîtriser une situation qui lui échappait : du moment que Michel contresigne cela, toutes les considérations sur l'après-guerre et le traitement infligé au grand vieillard puis à sa mémoire deviennent très relatives.

J'en conclus pour ma part que l'armistice était un piège mortel, rendant, après la plus lourde défaite de son histoire, un pays complètement à la merci de son pire ennemi et de celui et du genre humain, alors que tout n'était pas perdu. Michel s'obstine à dire que c'était une bonne chose : libre à lui de sombrer dans l'illogisme.

*** / ***

lue 1250 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes