Bonsoir David,
Francis ne m'en voudra pas de ce post hors-LDG.
Le redoutable Francis ne voit aucune raison de t'en vouloir pour ce "billet d'humeur" qui n'est pas vraiment hors-LdG. Et les redoutables Jacques et Laurent .... euh .... à mon avis non plus !
D'ailleurs il me semblait -sauf erreur de ma part-, que LDG avait récemment ouvert une rubrique destinée à faire office de "soupape", pour des contributeurs désirant écrire sur autre chose que des "livres de guerre". Mais je ne la retrouve pas....
C'est là (voir illustration ci-dessous). Pour que la rubrique "
Club des LDgistes" s'affiche sur la page "menu", il est toutefois nécessaire de s'être identifié au préalable.
Par ailleurs, si tu souhaites que nous déplacions ton "billet d'humeur" sous cette rubrique, fais-nous signe.
Pour te remonter le moral !
Pour évoquer l'arrière, un gamin écrit que les soldats s'y reposent et y jouissent de quelque distraction, comme les prostituées (sic).
Ce gamin n'a pas tort ! Sur le front de l'Yser, tenu par l'armée belge, plus d'un quart des soldats décédèrent des suites de maladies.... principalement la maladie du "repos du guerrier". Nous en causions ici :
Le meurtrier "repos du guerrier".
Les émoluments des professeurs.
Au numéro 1 de "
Histoire(s) de la Dernière Guerre", j'ai apprécié l'article de Vincent Bernard "
Crise économique et pouvoir d'achat des Français". Vincent écrit que dans les années 30, un professeur d'université gagnait 4.000 francs mensuels (soit l'équivalent en valeur constante de 2.130 euros) tandis qu'un instituteur débutant se contentait de 875 francs mensuels (soit 466 euros). Pour les professeurs de l'enseignement secondaire, rien n'est indiqué sans doute un montant entre les deux. Conclusion : qu'attends-tu pour soutenir une maîtrise d'Histoire et décrocher une chaire d'université.
Bien cordialement,
Francis.