Démocratie et Démocratie - Leclerc - forum "Livres de guerre"
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Leclerc / Jean-Christophe Notin

En réponse à -3 -2
-1Gaulliste avant d'être républicain de claudeB

Démocratie et Démocratie de Serge Desbois le lundi 21 novembre 2005 à 08h28

À propos de Leclerc et bien d'autres.

Tempêter contre le régime d’après 1945/46 qui singeait celui de la 3ème république où il y avait eu 40 gouvernements entre 1920 et 1940, n’est pas un signe que l’on est contre la république.

Au contraire, vouloir un régime de stabilité comme celui qu’à instituer la constitution de la 5ème république en 58, et qui existait dans tous les pays d’Europe du Nord depuis longtemps était une façon de la sauver.

Ce sont les politicards de la 3ème, revenus en 43 sur le tapis sous le couvert de la résistance avec l’assentiment de De Gaulle (qui avait besoin de leur volume en face Giraud ) qui voulaient reprendre leurs manèges d’avant-guerre où ils naviguaient comme des poissons dans l’eau.

Ils ont convaincu les Français de refuser la constitution que De Gaulle leur proposait en 45, invoquant le risque du pouvoir personnel, pour leur donner en échange celle de la 4ème république, soeur jumelle de la 3ème. La comédie a recommencé. 23 gouvernements en 13 ans jusqu’en 1958.

« tu me passes les anciens combattants, je te passe les finances… » Voyez Mitterrand, 11 fois ministre, Gaston Deferre 9 fois etc..

Observez, sur les films des archives des « Actualités françaises », la tête de satisfactions et d’importance des politiciens sur le perron de l’Élysée qui, dans les années 30 étaient appelés en consultation par le président de la République en vue de former le prochain gouvernement.

Pendant cette comédie pluriannuelle, Hitler s’en donnait à cœur-joie.

Les résistants de la 1ère heure de toute tendance s’étaient promis que çà ne recommencerait pas et qu’ils feraient une France nouvelle. Peine perdue ! La France et surtout Paris capitale de la mode c’est à dire de l’éphémère, ont une mémoire en rapport : elle est courte.

N’a-t-on pas vu en 1981, sur nos écrans de télé, lors de la grand-messe sacrant l’arrivée de Mitterrand, un bon vieillard de plus de 70 ans, pleurez de joie en clamant « Enfin, avant de mourir, j’aurais vu au moins une fois les socialistes arrivés au pouvoir ».
En 1936, il n’avait pas loin de 40 ans…

cordialement

*** / ***

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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes