Le quasi-anéantissement de la Panzerarmee Afrika à la fin de la bataille d'Alamein est difficilement contestable (notez le "quasi") :
plus de 50 % de pertes dans les effectifs, 100 % des chars, 70 % de l'artillerie...
Au début de la retraite d'Alamein, il ne reste pas grand chose des forces qui ont entamé la bataille.
Ce résultat est d'autant plus remarquable que cette quasi-destruction s'est faite "de face". De telles pertes sont en général le résultat d'encerclements complets ou partiels, là non. Là non, Rommel a toujours conservé ses lignes de communication (à l'exception de l'encerclement de l'infanterie italienne dans le Sud après l'effondrement du front).
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