mais ne troublez pas le religieux silence de notre attente du document au moyen duquel Jean a établi ceci :
L'ordre de cessez le feu n'est suivi (par toutes les armées du monde) que s'il provient du "Com'chef" des armées. Se référer à 1918. Or Weygand, dès 13 heures, a transmis l'ordre de poursuite des hostilités aux différents chefs des armées (Marine, aviation, terre) (mis par F. Delpla en caractères gras, en attendant son rire)
Vous vous rendez compte, s'il ne boisbouviérise pas en regardant ailleurs et et demandant dix fois où est la question précise à laquelle il n'aurait pas répondu, et s'il répond honnêtement qu'il ne peut prouver cette affirmation, ledit Boisbouvier va pouvoir le taxer d'anachronisme !
Car il sera alors fortement soupçonnable d'avoir projeté sur la situation de 1940 celle de 1941 où effectivement (mais certes pas sur l'heure !) Weygand joue un rôle (relatif en plus d'être tardif) pour freiner Pétain sur la pente des abandons, à propos des protocoles de Paris. |