Effectivement, en juillet-aoùt 42, une déportation n'était nullement synonyme de mort ou de mauvais traitements. Elle s'inscrivait dans une longue liste de personnes déplacées : deux millions de prisonniers, déportés du travail, etc.
Et de ces prisonniers, pas de nouvelles ? Ces "déportés du travail" (qui en 1942 étaient des volontaires) on ne savait pas où ils allaient ? Déparer les mères des enfants, ce ne sont pas des mauvais traitements ? Sortir des malades des hôpitaux pour les mettre dans des wagons à bestiaux, c'est humain ?
Ne seriez vous pas en train de nier des crimes Monsieur Boisbouvier ?