On en fait ce qu'on veut, tout comme les chiffres...

Le mieux en définitive était encore de quitter la maison pour prévenir les flics, éjecter définitivement le dangereux malpoli hors du logis familial et l'envoyer ruminer à l'ombre.

Le maître de maison ne daignant pas s'abaisser à aller faire les courses, c'est le petit dernier de la famille, le grand tout maigre en pleine crise d'adolescence et toujours de mauvaise humeur qui s'y collé en sortant discrètement par la fenêtre, bien entendu sans Laval du paterfamilias prêt à négocier la vertu des filles de la maison (les cousines et les bonnes surtout) pour conserver ses meubles, sa collection de timbres et ses disques de Tino Rossi.

Le petit c** aimait décidément bien trop sa chambre pour la laisser à son serial-killer de voisin. Bien lui en prit puisque tout le monde fut finalement content de retrouver le logis familial et d'en changer les serrures... On se fit bien un peu la gueule pour la forme mais...