... un Hitler à côté de ses godasses qu'Olivier nous présente là. Pour ma part, d'un bout de son action à l'autre, je ne le vois pas beaucoup se faire avoir alors qu'il possède presque tout le monde. En revanche il dit et laisse dire tant et plus qu'il a été trop naïf, avec Franco, Mussolini ou Pétain par exemple, et combien d'autres... d'où une mine pour les défenseurs d'après-guerre des susdits et de leurs doubles jeux.
De même, les sentiments personnels qui auraient retenu son bras quand des gens l'avaient trahi, par exemple Speer, cela sent le pipeau à dix kilomètres. Il tue, comme il laisse en vie, à bon escient. |