Cette analyse que je trouve excellente peut être complétée par l'évocation des besoins d'aventure et de dévouement à une cause simple qu'on peut si facilement mettre en action chez les jeunes, quitte à ce que certains réfléchissent plus tard (et beaucoup, jamais).
L'admiration pour les SS et leurs cosmopolites valets est fille, chez un Saint-Loup, du mouvement des Auberges de jeunesse du Front populaire, lui-même contaminé par le scoutisme, etc. Il suffit effectivement de déconnecter les SS idéalistes, épris de chevalerie, etc., de leur être premier et essentiel : serviteurs obéissants d'un projet d'agrandissement de l'Allemagne par l'agression de tous ses voisins et le meurtre banalisé, au nom d'une idéologie qui nie l'homme pour ne connaître que des "races" imaginaires. |