Si l'avocat a amplement raison dans ses mises en cause du Vatican, des Etats-Unis et de l'URSS, il se moque du monde quand il évoque Churchill, dont la phrase est extraite d'un contexte qui la nuance fortement. En bon diplomate candidat au pouvoir, il fait observer qu'il ne s'en prend pas au souci de Hitler de relever sa patrie d'une défaite, mais aux libertés que la diplomatie anglaise lui laisse depuis 5 ans. Il est bel et bien opposant, et au nazisme, et à l'appeasement, depuis le début et constamment. |