C'est aller au devant des voeux trés actuels de certains dirigeants, de "rayer Israel de la carte".
La démarche est contestable, et ne tient pas en compte l'antériorité des cultures.
Disons que c'est un instantané des options politiques actuelles.
Dans les atlas chinois, le Tibet n'est pas plus représenté en tant qu'état indépendant et souverain, que l'Ethiopie ne l'était dans les atlas de l'ère mussolinienne.
Mais là, s'agissant d'un voeu pieu,
provenant de surcroît d'organismes non concernés dans un conflit, l'aspect outrancier et partisan est évident. |