J'ai déjà mentionné une référence à l'auteur anglais R. Holmes, expliquant dans son livre "Battlefields" que l'armée allemande aurait en moyenne, toutes situations tactiques inclues (à l'offensive comme en défensive, avec appui aérien ou d'artillerie ou sans), tout adversaire considéré, infligé 50% de pertes en plus qu'elle n'en subissait.
Holmes explique cela notamment par la qualité de l'encadrement, la tradition allemande voulant que les meilleurs éléments fassent carrière pour l'état, d'abord l'armée, puis la diplomatie, puis le reste de l'administration, ensuite le privé allemand, etc. dans cet ordre de reconnaissance sociale, alors que l'échelle était inversée dans les démocraties, d'une manière générale. De même, l'idée de la suprématie du groupe sur l'individu créait un sentiment inverse à celui existant dans les démocraties.
Bon, je ne sais pas ce que cela vaut... |