Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies


[ 1939-45, AU JOUR LE JOUR ]
 
 
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

Histoire(s) de la Dernière Guerre - collectif
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Autour - Allemagne nazie
-

Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


USA - United States of America - USA
-

Les Etats-Unis d'Amérique. Quelques auteurs francophiles irréductibles préfèrent utiliser EU (Etats-Unis) ou EUA (Etats-Unis d'Amérique).

Dans ce texte :

Le pourquoi du comment... de Philippe Ballarini le lundi 06 août 2012 à 07h33

Bonjour,

Cela fait plus de 12 ans que je reçois quasiment toute la presse aéro francophone (à l’exception d'Air & Cosmos, hebdomadaire). En tout ce temps, j'ai eu le loisir de voir évoluer les magazines, d'en voir naître certains et mourir d'autres. En tout cas, en douze ans, le lectorat a changé, le "paysage" de la presse aéro aussi. Les magazines qui manquent de souplesse éditoriale meurent nécessairement, comme les plantes littorales qui ne supportent pas l'augmentation de la salinité due à la montée des eaux marines. D'autres, opportunistes, s'installent.

Histoire(s) de la dernière guerre me plaisait bien, mais ce magazine était construit selon une formule très rigide qui s'est révélé être un carcan. Devant la baisse des ventes, la rédaction n'a pas pu s'adapter : c'était la mort à coup sûr.

Cela m'amène à quelques réflexions (oiseuses, bien entendu)

Et d'une, un magazine, dans notre société d'économie libérale, c'est une entreprise commerciale : c'est fait pour être vendu et pour générer du bénéfice. Dans ce cadre, tous les coups sont permis. Fin 2004, un rédacteur en chef d'une revue naissante me disait qu'il ne faisait de la concurrence à personne, sous prétexte que dans le panorama de la presse aéro, personne n'avait la même ligne éditoriale que lui. Je lui ai répondu que dès lors que l'on vend quelque chose, on fait de la concurrence à quelqu'un, en raison de la Loi de non-extensibilité des porte-monnaie. Un magazine qui prétend mourir à cause de la concurrence, c'est un magazine qui en a tué ou blessé un autre à son numéro 1. Il n'y a pas de "gentil magazine" ou de "méchant magazine" ; il y a une concurrence commerciale autour d'un créneau.

Regardez un peu plus attentivement les rayons de votre marchand de journaux : il y a davantage de titres "aéro" en France qu'aux USA. Je ne connais aucun marchand de journaux qui propose TOUTE la presse aéro. Je crois bien que pour l'histoire, c'est pareil. Au début des années 2000, les rédac-chefs des magazines "aéro-historiques" se sont livré une guerre sanglante, allant jusqu'à prendre leurs lecteurs à témoin dans des éditos ravageurs. C'était crétin (le lecteur paie le papier, ce n'est pas pour y lire les règlements de comptes), mais c'était symptomatique d'un évident trop-plein. Le sommet était atteint lorsqu'ils se concurrençaient sur les sujets, à celui qui sortait le titre avant l'autre, pour que le retardataire ne vende rien et coule les plombs. Je peux vous garantir que le monde de la presse n'est pas celui des Bisounours. Cela m'étonnerait que Caraktère et Histoire & Collections (par exemple) soient très copains : c'est certainement à celui qui tuera l'autre.

Comme les magazines aéro, les magazines d'Histoire ont leurs "groupies" : cela me fait intensément rigoler. J'achète un mag parce que les sujets dont il traite m'intéressent, sinon je le laisse dans son rayon, un point c'est tout. Combien de fois ai-je entendu "Machin Magazine, ce n'est vraiment plus ce que c'était !"
"Et alors, pourquoi continuez-vous à l'acheter ?"

Si nous étions en petit comité, je vous établirais la liste des magazines aéro qui vont cesser de paraître dans les deux ans. En attendant, je vous écrirais pendant des heures sur le sujet, mais il faut que j'aille chercher les croissants.

Cordialement

PB

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.07 s  3 requêtes