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Vie et moeurs des G.I's en Europe - Marc Hillel
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Alliance (Réseau) - Résistance (France)
-

Fondé en octobre 1940 par Georges Loustaunau-Lacau. Arrêté ainsi qu'une grande partie de son Etat-major, Meric (Marie-Madeleine Fourcade) prend la tête du réseau. Le réseau Alliance est directement rattaché à l'IS (Intelligence Service) britannique.
Le 2 septembre 1944, 108 membres d'Alliance sont massacrés par les SS au camp de Struthof .


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Royale - France 1940
-

La "Royale" désigne la Marine nationale dont l'Etat-major est installé rue Royale à Paris.... non sans quelques arrière-pensées....


GI - Government Issue - USA
-

Fantassin dans l'armée américaine ( 1940 à nos jours )

Dans ce texte :

Ouh la la ! de Francis Deleu le mercredi 22 mars 2006 à 12h19

Bonjour Arcole,

On en est maintenant à mettre en accusation les soldats français de 1940 en Hollande. Au nom de la recherche de la vérité, on diffuse une malsaine propagande anti-française. Au bénéfice de qui?

Ouh la la ! Ma belle-famille et un tiers de ma famille résident en France ! Y vont me répudier ! Pire ! Je redoute que lors d'un séjour dans la belle région de Toulon, un beau-frère (par alliance), officier dans la Royale, m'enferme au fond d'une cale de son bâtiment de guerre pour méditer sur mes penchants anti-français. §;-))
M'enfin Arcole ! Je m'étais inscrit un peu tardivement dans ce débat pour indiquer la perception que pouvait avoir une population donnée, plus sensible aux débordements probables de quelques militaires qu'aux vertus de l'armée elle-même. J'aurais dû ajouter, comme m'y invita Marc Artiges, que les beaux blonds disciplinés n'ont pas fait illusion bien longtemps.

Comme je suis d'humeur folâtre en ce début de printemps glacial, j'en remets un couche.
Décor : gare du Nord en 1940 ! Témoins : le diplomate américain Murphy et le général français Giraud ! Deux perceptions différentes d'une même évènement ! Précision: le narrateur est Murphy !

*** Durant la première semaine de la guerre, le hasard me mit en présence de l'un des rares Parisiens qui faisait exception par son optimisme inébranlable. Cet homme joua par la suite un rôle important dans les relations franco-américaines ainsi que dans ma propre carrière. En même temps qu'il déclarait la guerre, le gouvernement français avait décrété la mobilisation générale. Je me rendis un matin dans une gare, celle du Nord, afin d'observer les mobilisés qui s'embar­quaient en masse pour le front. Par une curieuse coïncidence je me trouvai à côté d'un officier français en uniforme, grand et très droit. Je le reconnus: c'était le général Giraud, héros célèbre de la Première Guerre mondiale. Je l'avais rencontré à un dîner de l'ambassade. Giraud, venu voir comment se déroulait la mobilisation, était sincèrement enthousiaste et plein d'espoir en l'avenir. "Cette fois, dit-il joyeusement, tout ira mieux pour nous. On les aura!"
La scène qui se déroulait sous nos yeux ne justifiait guère une telle assurance. Les mobilisés, mornes, tête baissée, se traînaient jusqu' aux quais, sans encouragement, sans drapeaux déployés, sans fanfares ni acclamations populaires. Beaucoup avaient absorbé une bonne dose d'alcool, ce qui, eu égard aux circons­tances, était pardonnable. Tout en sachant que l'armée française n'était pas portée à imiter la netteté impeccable des Allemands et que certains soldats français s'enorgueillissaient de leur débraillé, le spectacle de la gare du Nord n'était encourageant que pour un optimiste. ***

Dernier exemple qui devrait vous dérider !
Haut comme une demi-pomme, j'étais le plus souvent hébergé chez mes grands-parents. Un beau jour, un monstre d'acier écrasa mon petit potager d'un demi-mètre carré. Mon grand-père furieux, leva un poing vengeur vers le blindé qui s'éloignait. Quelques semaines plus tard, un autre monstre d'acier ravagea non seulement mon petit potager mais également le grand potager de mon grand-père. Aie! Aie! ai-je sans doute pensé ! Qu'est-ce qu'il va être furieux mon grand-père! Et bien non ! Mon grand-père hilare, leva les bras au ciel en forme de V. Et moi de sautiller de plaisir !
Ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai résolu l'énigme. Le premier char était une Panzermachinchose et le second un Sherman !

Enfin, je me demandais qui était l'olibrius ayant eu l'idée de proposer ce contestable bouquin sur les moeurs des GI ? Heu ! Je sors ! §;-))

Bien cordialement,
Francis, d'humeur folâtre... je précise. §;-))

*** / ***

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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.06 s  3 requêtes