Encore une fois, pour la forme et comme vous êtes un homme de Lettres et de bon caractère, j'espère que vous accepterez de me pardonner cette saillie capitale.
Mais je fais la même remarque qu'Emmanuel : Alain CERRI est le spécialiste de la micro-citation qui l'arrange, de préférence à charge à partir d'auteurs "de réputation" et pour régler son compte à BARBIER le novateur. Vous procédez par échantillonnages et avec une technique de taxidermiste classificateur des Archives Alpines, pas d'historien. C'est la pratique d'Annie LACROIX-RIZ pour accommoder à sa sauce les documents, et ... ce n'est pas exactement un compliment.
Pour en revenir à Glières, je termine juste la lecture de GUILLON (un texte aussi défensif que politiquement correct et avec toutes les marques de déférences requises * ; texte incompréhensible sans connaître la sortie de l'excellent mais perfectible ouvrage de BARBIER) et vous produirai prochainement une note critique, mais je dispose de peu de temps pour ma part d'où mon impossibilité de répliquer à la diarrhée argumentaire de CERRI A et B.
A suivre.
JD
(*): sont encensés hors anciens), DALOTEL, LIEB, BACHELET .... mais pas Alain CERRI.