Chacun voit midi à sa porte - Le PCF à l'épreuve de la guerre, 1940-1943 - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Le PCF à l'épreuve de la guerre, 1940-1943 / Roger Bourderon

En réponse à -11 -10 -9 -8 -7 -6 -5 -4 -3 -2
-1puisque nous sommes entre gens de bonne compagnie... de françois delpla

Chacun voit midi à sa porte de Emmanuel de Chambost le samedi 23 novembre 2013 à 13h00

Sans doute sur ce forum, chacun suit-il surtout sa propre démarche, avec son propre questionnement et le même zèle pour conforter ses idées.

Il en était de même en 1940, chacun ne pouvant voir que ce que lui permettaient ses propres lunettes. Concernant Tillon et l'ensemble des responsables communistes, Bourderon, tout à fait delplaïque sur ce point écrit qu'ils s'attachent à restructure une organisation clandestine axée sur la lutte revendicative et la volonté de renouer les liens avec les travailleurs. « Reste bien entendu, l'inadéquation des proclamations communistes de l'été 1940, prisonnière d'analyses totalement dépassées, à la situation réelle. La vision stratégique de De Gaulle est évidemment d'une toute autre ampleur. »

Je ne partage évidemment pas cette analyse de Bourderon. De Gaulle, tout comme Tillon, fait ce qu'il peut avec les lunettes qu'il a. Absolument incapable d'imaginer la clandestinité et la résistance intérieure, il devra attendre dix-huit mois pour réaliser que sa propre légitimité ne veut venir que d'organisations clandestines qui se sont développées tout à fait en-dehors de lui. Tillon, par contre, cultive tout naturellement la survie de son Parti clandestin qui sera tout à fait adapté, le moment venu à préparer politiquement la Libération. Il est, par contre complètement incapable d'imaginer la poursuite de la Guerre mondiale puisque le Parti français n'y est pas encore entré et que la seule puissance aux côtés de laquelle il pourrait la faire n'est encore « qu'une force de Paix ».

Emmanuel

*** / ***

lue 1029 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes