De ce que je sais de cette "affaire", ce n'est que justice. Ils ne sont d'ailleurs pas rares, dans ce cas. Beaucoup ont eu du mal à se défendre, je pense aux paysans des régions où le patois, voire la langue régionale, était bien plus usitée que le français. D'ailleurs, les régiments corses, bretons ou provençaux (parmi d'autres), ont payé de leur sang la défiance qu'on leur accordait en haut lieu... des gens trop attachés à leur culture, ou Français de trop fraîche date (pays niçois). Que dire de la décimation ordonnée par Cadorna en Italie, après Caporetto... un sur dix, au hasard, pour l'exemple... . |