Il est vrai que ce n'est pas un appui direct à Staline de la part de Churchill, comme Wallace, mais indirectement quand même...
P.512 En 1938 Churchill confia à Ivan Maïski, l'ambassadeur soviétique: " je déteste [cet homme] ! Je l'ai fait surveiller pendant quelque temps. C'est un mauvais génie, et c'est une très bonne chose que Staline lui rende la monnaie de sa pièce"Réf p. 591: Journal de Maïski, 23 mars 1938. Cette réflexion a été aimablement portée à mon attention par Gabriel Gododetsky, traducteur de l'ouvrage d'origine
P.506...Aux EU les défenseurs de L'Union soviétique étaient légions jusqu'au futur vice président de Roosevelt, Henry Wallace (Henry et non Georges comme je l'ai écrit...) |