... est un peu faible
-à une époque où on raclait les fonds de tiroir;
-par rapport à l'intérêt qu'aurait représenté pour la Milice le fait de pouvoir se réclamer de ce nom;
-par le fait qu'elle possédait des écoles de formation, qui vous rendaient "milicien" dans l'ambiance de la Libération (cas des fusillés de Grenoble).
D'autre part, l'argument des représailles contre la famille se retourne : précisément il n'y en avait pas eu.
Quant aux autres tracouillonades, elle ne démontrent rien du tout, et se retournent aussi, dans la mesure où il n'y a pas eu, semble-t-il, sur ce cas-là le moindre procès.
Bref, au lieu d'approches indirectes, ce qu'il faudrait savoir c'est ce que le présumé faisait exactement avant la Libération. |