H.S. n° 16 : TIGER-ABTEILUNGEN ! - Historique des unités lourdes de la <i>Panzerwaffe</i>, tome II - Batailles & Blindés - forum "Livres de guerre"
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Edition du 29 juillet 2011 à 21h54

Batailles & Blindés / Collectif

 

H.S. n° 16 : TIGER-ABTEILUNGEN ! - Historique des unités lourdes de la Panzerwaffe, tome II de Francis Deleu le vendredi 29 juillet 2011 à 21h48

Le tigre revient !
Après un premier hors-série consacré exclusivement aux huit premiers bataillons de chars lourds de la Panzerwaffe, revoici le Tiger dans tous ses états … mais cette fois accompagné des redoutables Ferdinand/Elefant et Jagdtiger ! En effet, ce guide comprend les historiques des derniers bataillons de Tiger de la Heer, les trois autres de la Waffen-SS, mais aussi les formations lourdes de chasseurs de chars ayant aligné les Panzerjäger susnommés. Un choix délibéré de notre part, dans la mesure où l’Elefant et le « Ja-Ti » ne sont en fait que des avatars du Panzer VI : le premier a pour origine le prototype non retenu de Porsche pour le programme Tiger, tandis que le second récupère le châssis du char lourd dans sa version Ausf. B… Outre cette filiation technique, ces trois schwere Panzerjäger-Abteilungen recevront quasiment les mêmes missions que leurs homologues équipées du Tiger : lutte antichar, rôle d’« ouvre-boîte » blindé comme à Koursk, de « pompier du front » face aux marées blindées soviétiques, etc.
En outre, il est intéressant de remarquer que si les Tiger-Abteilungen sont numérotées de 501 à 511 (cette dernière étant la seconde appellation de la schwere Panzer-Abteilung 502, traitée dans le hors-série n°14 et donc absente ici), l’un des deux bataillons lourds équipés de « Ja-Ti » continue cette suite logique : schwere Panzerjäger-Abteilung 512, les autres désignations (« 653 » et « 654 ») s’expliquant par des créations antérieures. D’ailleurs, nombre de personnels de ces schwere Panzerjäger-Abteilungen proviennent de schwere Panzer-Abteilungen (Carius, Scherf, Wirsching, etc.). Il est donc pertinent d’associer ces trois formations lourdes aux bataillons de Tiger pour mesurer leur comportement au feu, apprécier leurs spécificités, comparer leurs bilans, etc.
De la « Grossdeutschland » à la « Kummersdorf », de la Normandie à Berlin en passant par l’Italie, la Hongrie ou les plaines ukrainiennes, ces unités ont combattu sur tous les grands champs de bataille de 1943 à 1945, détruisant quelques 5 000 blindés ennemis ! Elles y perdront tout leur matériel et disparaîtront généralement dans le maelström des dernières semaines du conflit en terre allemande ou autrichienne. On retrouve dans l’histoire de ces formations ce qui fit l’originalité de la force blindée du III. Reich : l’impossibilité de vaincre par le nombre et, par voie de conséquence, la volonté de supplanter le quantitatif par le qualitatif. En bref, faire mieux avec moins ! Tiger, Jagdtiger et Elefant devront asséner de tels coups de boutoirs aux forces alliées que leur avantage numérique ne devienne qu’un facteur secondaire ; or, les États-Unis produisent environ 50 000 M4 Sherman pendant la guerre ! De son côté, l’URSS sort 1 300 T-34 par mois ! C’est donc une stratégie que les blindés lourds de la Wehrmacht ne pourront pas assumer indéfiniment…

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