est de montrer que les Services de renseignements suisses, dirigés par Roger Masson, ont oeuvré du côté des Anglos Américains et des Forces Françaises Libres. Tout le prouve et jusqu'à maintenant je n'ai jamais eu la moindre information du contraire. Ce n'est pas pour rien que Churchill l'a dit indirectement dans ses mémoires, il était le mieux placé pour le savoir....De tous les pays neutres, c'est la Suisse qui mérite le plus d'être citée. Elle fut la seule force internationale à servir de lien aux nations horriblement séparées et à la nôtre en particulier....
L'impact réel des informations transmises par ce réseau sur le déroulement de la guerre en URSS est hors de mes compétences. Ce travail de mémoire devrait intéresser les historiens en Suisse et pour le moment je n'en connais qu'un seul, c'est Christian Rossé. J'ajoute qu'il me semble que cela demanderait une collaboration avec les historiens Russes et Anglais. |