Après l'assassinat de Mandel et de Jean Zay, ceux de Paul Reynaud et de Léon Blum devaient suivre, mais Laval s'est fâché très fort et ils furent sauvés.
Quand Laval s'est retrouvé à Fresnes, trois mois plus tard, en passe d'être fusillé après le jugement que l'on sait, ses avocats sont allés trouver ces deux hommes qui devaient la vie sauve à leur client pour qu'ils intercèdent en faveur d'une grâce présidentielle.
Sauf erreur, ils n'en ont rien fait.
Trop compromettant pour la carrière !
C'est pas toujours du beau monde dans la politique.