Nous nous étions bien entendus quand je rédigeais le livre anti-Chauvy et il avait aidé à éclaircir quelques points. Notamment l'immense colère de Lucie contre ses camarades le matin de l'évasion quand une voiture n'avait pas démarré, dont la dissimulation rendait le passage de son livre peu compréhensible... et elle avait agréé ce complément !
Puis il avait revu de près sa mini-bio dans l'album sur la Libération.
Dernière rencontre lors des obsèques de Lucie, Chirac discourant, peu audible où nous étions. Il avait perdu beaucoup de mobilité, lui qui en avait tant montré our glisser entre les doigts des Allemands. Il se disait fatigué... |