Bonsoir,
Je fus rassuré en lisant - parmi les commentaires - l'intervention de François Delpla. Ce dernier se pose d'emblée en historien en s'attachant à la filiation de l'intéressée :
*** peut-être" plutôt que "sans doute" ! un baptême laisse des traces dans des registres paroissiaux; et si le parrain est un chef d'Etat soigneux de sa publicité, il est relaté par la presse : où sont les documents ? Bref et sans jeu de mots, de ce baptême je demande confirmation ! de tout le reste aussi évidemment. ***
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de tout le reste ? *** J'affiche mon scepticisme et redoute une Xème opération "
Bling-bling à connotation religieuse cette fois.
Décidément, nous n'y échappons pas à ce bling-bling des marchands du temple (pour rester évangélique) ou des marchands d'émotions à quatre sous (pour rester terre-à-terre).
La question reste toutefois posée : celle du pardon chrétien ! Dans mes souvenirs lointains de pensionnaire dans un collège de "bons Pères", il était question de "pardonne à tes pires ennemis". Euh ! Beuh ! A une époque où l'élève interne (la majorité) était autorisé à rentrer chez lui un weekend sur deux, l'élève dissipé - que j'étais à l'insu de mon plein gré - ramassait invariablement un percutant "
Deleu ! Retenue !" c'est-à-dire "pas de weekend en famille". Je n'ai toujours pas pardonné ! Chuis mécréant depuis lors ! §;-))
Bien cordialement,
Francis.