Des précisions de plus..... - Et les murailles tombèrent - forum "Livres de guerre"
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Et les murailles tombèrent / Jack Fishman

En réponse à -3 -2
-1Diverses hypothèses... de René CLAUDE

Des précisions de plus..... de Prosper Vandenbroucke le samedi 05 octobre 2002 à 16h49

Bonjour René, bonjour à tous,
Voici encore quelques précisions
Amiens, 18 février 1944.
A midi, quatorze Mosquitos de la RAF ont surgi en rase-mottes au-dessus des murs de la prison d’Amiens et ont lâché leurs bombes.
Organisée à l’initiative de Dominique Ponchardier, qui dirige dans le Nord un réseau rattaché aux services secrets britanniques, l’opération Jéricho visait à faire évader plusieurs résistants dont l’exécution était prévue pour les prochains jours. Les prisonniers avaient été prévenus et s’étaient déclarés « prêts à mourir sous les bombes alliées plutôt que sous les balles nazies »
L’escadrille a exécuté à la lettre l’opération préparée sur maquette. Deux vagues successives d’appareils ont frappé les murs d’enceinte et les locaux de gardes, puis le bloc des cellules, afin d’en pulvériser les portes et les murs. De nombreux prisonniers ont alors cru leur dernière heure arrivée. Dans le fracas et la fumée des explosions, 258 détenus sont parvenus à prendre la fuite, dont près de 80 résistants, aidés de l’extérieur par les hommes de Ponchardier. Mais 56 autres détenus qui tentaient de fuir ont été tués par les gardes. L’évadé le plus connu est Raymond Vivant, chef des maquis de la Somme. Il reste toutefois 74 détenus dans la prison, dont André Tempez, fondateur de l’OCM ( Organisation Civile et Militaire ) dans la Somme ( fusillé le 8 avril à Arras). Le Dr. Mans a choisi, lui, de remplir son devoir de médecin : il est resté.
La RAF déplore quant à elle la mort du chef de l’opération, le commandant Charles Pickard, un véritable as de l’aviation qui s’était déjà illustré dans le raid sur Bruneval, le 28 février 1942.
Amicalement
Prosper

*** / ***

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