En effet François. - Les fusillés de la Grande Guerre et la mémoire collective (1914-1999) - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre


Edition du 31 mai 2008 à 17h55

Les fusillés de la Grande Guerre et la mémoire collective (1914-1999) / Nicolas Offenstadt

En réponse à -4 -3 -2
-1Alors qu'on ne dise rien ! de françois delpla

En effet François. de d.zambon le samedi 31 mai 2008 à 16h58

Après trois années de boucherie supportées avec un stoïcisme étonnant, et ce quel que fût le camp, il est indubitable que les "consciences" se sont réveillées. Mais ce qui m'étonne, c'est que, finalement, les "mutineries" (je trouve le terme un peu emphatique) ne sont que des épiphénomènes à l'échelle des armées. Ce qui me surprend, à titre personnel, c'est qu'on n'ait pas "râlé" plus tôt. Ces hommes n'ont pas agi ainsi parce qu'ils ne voulaient pas se battre, mais, à mon sens, parce qu'ils ne voulaient plus se battre et mourir POUR RIEN. Et si en effet tu as pu fort logiquement croire que j'expliquais les mutineries par la fatigue physique et morale des soldats, qui était elle aussi bien réelle, je pensais davantage à ce rapport offensives/gains, absolument nul, que ces derniers ont jugé finalement, inacceptable. Et certains l'ont fait savoir en s'exposant, naturellement, aux représailles (le cas italien en est probablement le pinâcle). Quand j'ai cité mon arrière-grand-père, ce n'était que pour information. Je donnerais cher pour faire un bond dans le temps et en discuter avec lui. A priori, il n'abondait pas dans leur sens (à l'époque des combats il était militaire de carrière, et ceci explique peut-être cela...) même s'il n'en pensait pas moins quant à ces offensives inutiles où il avait vu ses camarades périr.

*** / ***

lue 1353 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes