C'est bien dans ce livre que Galland raconte comment il a assassiné un Potez 63, plus lent que son Me 109 de 150 Kms h. Il appelaient les pilotes français des "acrobates furtifs" parce qu'ils ne pouvaient que zigzaguer, les malheureux sous les rafales, sans pouvoir rendre les coups.
Ce qui est jubilatoire, c'est de comparer avec les derniers vols de Galland, en Avril 1945, où c'étaient les pilotes allemands, à leur tour, qui devenaient des acrobates furtifs sous la pression des aviations alliées.
Galland s'écrie même, comme les Français de 40 "Où sont donc nos avions!" Rigolam! |