Au sujet des viols de Stuttgart, le cher Christian de la Mazière, dans "le rêveur casqué", semble s'être un peu planté.
Il nous décrit la vision apocalyptique de tirailleurs violant les femmes allemandes, sur le parvis de la cathédrale, et la nuit de Noël!
Mais quel Noël ? Si c'est celui de 1944, l'armée française était encore loin de la ville. Et si c'est celui de 1945, c'est tout aussi hypothétique, les viols ayant cessé avec la paix, et les troupes coloniales, en décembre 1945, ne devaient plus être trés nombreuses dans la zone... ni même les troupes françaises en général, Stuttgart ayant été restituée à la zone américaine. |