Bonjour/Bonsoir,
On sait que Tante Yvonne (De Gaulle) était prude ,mais on sait aussi que lors de son séjour en Pologne juste après la première guerre, De Gaulle n'avait pas une réputation de moine... Les biographes (du moins ceux dont j'ai lu les livres) n'abordent qu'avec une extrême prudence la dimension plus affective de la vie de Charles De Gaulle. Comme si il y avait un mot d'ordre tacite qui invitait les spécialistes (Lacouture, Roussel,...) à rester , heu..., évasif sur la question de la fidélité du chef de la France Libre. Le personnage est-il devenu trop grand pour lui prêter des passades...? Quand on voit les charmantes jeunes femmes qui se sont engagées dans la France Libre, on peut se poser la question sans pour autant "abîmer" l'image, non ? Moi, ça me rend les "grands formats" plus sympathiques de les savoir sensibles à... la sensualité !
Mais, j'ai relu les passages ainsi que des livres écrits sur la famille De Gaulle-Vendroux : calme plat... De Paris à Alger, en passant par le Levant ou Londres, c'est toujours travail, politique et fidélité à tante Yvonne.
Amicalement,
René |