"Quand il devient la vedette du journal Gringoire, c'est aux côtés de Colette, Kessel, Guitry et Henry Bordeaux. C'est ensuite qu'il dérape, sans s'en rendre compte, acharné, pendant les temps confus de l'Occupation, à écrire « ce qu'il croit juste et vrai »."
Voilà un raccourci accrobatique. Gringoire est gratiné dès le départ, et infâme bien avant l'Occupation, Béraud avec. De ce point de vue la notice de Wikipédia est plus satisfaisante :
Mais elle ne se penche pas sur Béraud : il convient de dire que dans le soutien à l'agression mussolinienne en Ethiopie comme au franquisme,il était en pointe.