Je trouve très bien de proposer des bouquins différents : l'appellation "livres de guerre" est assez vaste pour englober - parfois en poussant et en bousculant un petit peu ses limites - des romans forts comme celui de Nancy Huston. Et puis, c'est vrai, Frédérique a raison, il faut savoir "oublier" un moment les livres d'histoire précis, les essais pointus et les bios exigeantes pour retrouver le plaisir d'un roman quand la lecture se fait plus intime et nous fait vivre des nuits blanches. Le lendemain, le souvenir de cette lecture nous accompagne en nous offrant des bouffées de bonheur. (Ah ! Ces plaisirs du texte ... !)
RC |